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Un être en balade, ici, la, ailleurs.

12 mars 2009

Deux livres

Aujourd'hui, je suis heureux. Pas parce que la fac est bloquée et que ça me permet d'être en Week-end, ni même parce que j'ai rencontré Indochine (ça, ça me rend très heureux aussi, mais ce n'est pas le sujet.), mais bien, parce qu'Aujourd'hui, grâce à quelqu'un qui se reconnaîtra, j'ai retrouvé le goût de Lire.
Avec un L Majuscule, parce qu'au même titre que le cinéma, fait partie de mes loisirs préférés.J'ai d'ailleurs mes auteurs préférés, je vous en parlerai à l'occasion.

Le seul problème, est que j'avais perdu un peu le goût de lire. Plus de temps,plus d'intérêt, etc, etc. Il fallait un livre qui m'accroche, édité en poche (pas de petites économies...). En relisant des "conseils de lectures", fournis par celle qui se reconnaîtra, j'ai acheté deux livres.

Le premier que j'ai lu, ou plutôt dévoré (durée: moins d'une journée, pour 392 pages...) est Shutter Island, écrit par Dennis Lehane.

Présentation du bouquin:

http://www.amazon.fr/Shutter-Island-Dennis-Lehane/dp/2743614811

Ce livre est énorme. Accrocheur. Trash. Il se lit vite et bien. Surtout, l'histoire est parfaitement ficelée, au point qu'on se retrouve non pas à lire un livre, mais intégrer un monde. Ceci s'explique beaucoup par le fait que un bon pourcentage du livre est composé de phases de dialogue. On a l'impression de voir un film, en fait. D'ailleurs, il sera adapté par Scorcese et projeté au cinéma, fin 2009.

Le second livre, que je n'ai pas encore terminé (à suivre donc), est le livre qui a inspiré le film : "Slumdog Millionnaire" (voir article associé), et qui s'intitule: Les fabuleuses aventures d'un indien malchanceux qui devint millardaire. de Vikas Swarup.

Je viens de le terminer. Effectivement, c'est assez différent du film, même si on reconnaît assez les évènements dans le film.

Néanmoins, petit bémol: Même si ses aventures sont passionnantes, l'histoire racontée dans le livre est assez complexe à suivre, notamment, quand on arrive à l'épilogue, on a oublié quelques trucs de ces 362 pages.
Le fait aussi, peut-être, que pas mal de mots sont en langues originales, ce qui ne rend pas la lecture facile.

Mais, si vous avez un tant soit peu d'imagination, alors, je le recommande, c'est un bon moyen de s'évader.

Bonne lecture.

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1 février 2009

France Gall: La déclaration d'amour

Parce que c'est à mon sens la plus belle chanson qui existe, et que je l'adore depuis tout petit.

LA DÉCLARATION D'AMOUR

Quand je suis seule et que je peux rêver
Je rêve que je suis dans tes bras
Je rêve que je te fais tout bas
Une déclaration, ma déclaration

Quand je suis seule et que je peux inventer
Que tu es là tout près de moi
Je peux m'imaginer tout bas
Une déclaration, ma déclaration

Juste deux ou trois mots d'amour
Pour te parler de nous
Deux ou trois mots de tous les jours
C'est tout

Je ne pourrais jamais te dire tout ça
Je voudrais tant mais je n'oserais pas
J'aime mieux mettre dans ma chanson
Une déclaration, ma déclaration

(Une déclaration, ma déclaration)

Juste deux ou trois mots d'amour
Pour te parler de nous
Deux ou trois mots de tous les jours
C'est tout

Quand je suis seule et que je peux rêver
Je rêve que je suis dans tes bras
Je rêve que je te fais tout bas
Une déclaration, ma déclaration

Je t'aime quand tu es près de moi
Je t'aime quand tu n'es pas là
Je pense à toi
Je t'aime quand tu souris

(Une déclaration, ma déclaration)

Je veux des souvenirs avec toi
Des images avec toi
Des voyages avec toi
Je me sens bien quand tu es là

(Une déclaration, ma déclaration)

Je t'aime quand tu es triste
Que tu ne dis rien
Je t'aime quand je te parle
Et que tu ne m'écoutes pas
Je me sens bien quand tu es là

(Une déclaration, ma déclaration)

22 janvier 2009

Slumdog Millionnaire

Cet article devait être initialement posté à la suite de celui sur "Requiem for a Dream". Mais 4 bugs successifs m'ont découragé: donc je me contenterai de vous poster à la suite, ma critique Allociné.

Bonne lecture!


"Très beau film. Une mise en scène colorée, agréable. Des acteurs qui jouent juste, et des aventures d'enfance fort agréables à suivre, bien qu'un peu longues (c'est d'ailleurs le point noir du film à mon sens: On aurait pu couper une minute ou deux de chaque scène, et ainsi réduire à 1H45, ce qui aurait été suffisant. C'est en tout cas un très beau film, qui ne colle certes pas "trop" au livre dont il s'inspire, mais en ces circonstances, ce n'est pas trop gênant."

A noter que ce film a re çu quatre Golden Globes.

22 janvier 2009

Auto-congratulations

Petit article très court, d'a peine quelques mots pour vous dire que j'ai satisfait à l'épreuve théorique générale du permis de conduire. Pour faire simple: j'ai eu mon code.

19 janvier 2009

Requiem for a dream

Aujourd'hui, deux articles sur le cinéma. Dont un, celui-ci, pour présenter Requiem for a dream.
J'ai entendu parler de ce film, par une archi-fan dont je tairai le nom et qui se reconnaîtra. L'occasion m'a été donnée de le voir. J'avais un peu "peur", car, je m'étais renseigné avant, et ce film fait partie des films qui ne laissent pas indifférent. C'est d'ailleurs la marque des grands films. Bon scénario, casting pas forcément des plus reluisants mais acteurs doués, et grande musique. Et le film comporte de grandes musiques.

Bref.
Il s'agit d'un film sur le thème de l'addiction. Les effets de la drogue y sont gentiment suggérés, sans violence dans les images (sauf peut-être à la fin ou les images sont un peu plus difficiles à supporter) -la violence n'est "que" psychologique.

Une mère accro à la télé, qui se dope aux coupe-faim, pour maigrir afin d'être "présentable" le jour du passage dans son émission, un fils accro à la drogue et à sa copine, son meilleur pote accro à l'argent, leur dealer accro au sexe, la copine prête à vendre son corps pour sa dose... Moralité(s) du film:

  • On est tous accro à quelque chose (et ce film rend accro à sa musique: http://fr.youtube.com/watch?v=e2Ma4BvMUwU)
  • La drogue c'est mal. Ok, j'étais ridicule dans mon message. Mais on voit la vie différemment après ce film. Sincèrement. On prend conscience de pas mal de choses, et on se dit que l'on a pas envie d'être ainsi.La scène finale est d'ailleurs assez éprouvante psychologiquement. Et tout ca, sans images horribles.Mais, ce n'est pas le seul message du film, herueusement.
  • Finalement, la vie est pleine de rêves, même si les leurs se transforment en cauchemar...Après tout, la mère voulait un fils heureux, marié, et passer à la télé. Elle a presque réussi. Le fils voulait être heureux avec sa femme, tout en s'évadant un peu avec la drogue. Il est allé trop loin. etc,etc.

Bref, allez le voir. Vraiment.

Bande Annonce: http://fr.youtube.com/watch?v=lgo3Hb5vWLE 

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9 janvier 2009

Pour éviter le massacre du patois.

Je me faisais la réflexion en cherchant des trucs en ch'ti, que, Bienvenue chez les ch'tis avait causé un certain dégât, bien involontaire, il ne faut pas en vouloir à Dany Boon. Le défaut de ce film est que , il a popularisé le ch'ti en tant que langue, et les gens se le sont approprié, sans en prendre soin. J'en veux pour exemple le "chtimisator" (tapez le dans google) qui traduit soit-disant les sites en ch'ti. Ok, mais le ch'ti ne se limite pas à Coco-colo, babache, boubourse, et biloute.

Le ch'ti, qu'on appelle d'ailleurs, chez les gens du nord le "patois" (mais ce terme n'est pas employé au niveau national, pour ne pas confondre avec les autres patois...) est une vraie, et belle langue. A l'oral (lorsqu'on ne la massacre pas avec un accent parisianiste qui consiste à croire que parler ch'ti ce n'est que remplacer les "a" par les "o", prononcer "heeeeeeeein" et "biloute"... Mais aussi à l'écrit, ce qui en fait une magnifique langue. Je disais, plus jeune, que le ch'ti ne s'écrit pas, il se parle... Plus je vieillis, plus je m'y "intéresse" (c'est un bien grand mot, tout au plus, je lis quelques articles dans la presse locale...), plus je trouve cette langue magnifique, et "gâchée" par le détournement qu'en ont fait , non pas Dany Boon et ses acteurs, mais les gens. Ca ne vous soule pas, ces pubs pour des "sonneries sms", faites par des acteurs parisiens, et qui donnent "oué, cho vo biloute, t'as un ech em eche, hein!"? Moi si. D'ailleurs pour rendre hommage à cette langue, j'ai décidé de retraduire l'article en patois.

Juste pour vous montrer que le ch'ti est une langue, plus qu'un phénomène commercial. Vivez vos vies, soyez modernes, mais , sans faire comme Pernaut à 13H, protégez, sauvegardez vos identités régionales. Parce que, si on a des spécificités, c'est pour éviter qu'on soit tous des clones.

Kenavo, Ar'voir, etc.

Voici comme promis la traduction à l'écrit, en patois. Vous noterez la différence prononciation/écriture.J'ai fait le parti d'une écriture plus "orale", plus phonétique, il faudrait qu'un patoisant , un vrai de vrai, à la Guy Du Bois, passe me corriger.

"J'em f'sos eul réflexion, in cachant apé des truc in ch'ti, que "Bienvenue chez les Ch'tis" avo causé chertains dégâts, bin involontaire; i faut nin in vouloir à Baby Boom (ou Dany Boon, mais ch'étot une dédicace à tous mes camarades qui ont vu ches spectacles). Ch'défaut du film, ch'est que, y'a popularisé el ch'ti in tant que lanc', et qu' ches gins, y zont approprié pour euss', en n'in prenant nin soin. Jva prend' un eximp': Eul chtimisator (vas vir chu google), qui traduit ches sites internet in ch'ti. Ok, mais le ch'ti, cha s'limite pas à Coco-colo, Biloute, Babache, et boubourse.

Eul ch'ti, qu'in appelle chez les vrais gins du Nord, el patois, (mais ch'est pas implôyé au niveau nachional, pour nin confond' avé ches aut' lingaches) ch'est eun' vraie, et eun' belle lanc'. A l'oral (quint in la massac' pa ave un accent ed parisien (tête ed' quien) qui consiste à croire que parler ch'ti, ch'est juste rimplacer ches "a" par ches "o", prononcer "biloute" et "heeiiiiiiiin"... Mais, auchi, à l'écrit, ce qui en fait eun' magnifique lanc'. Quint j'étos tiot, j'disos: "eul ch'ti cha s'écrit nin, cha s'parle"... Pu qu' j'vieillis, pu qu'j'm'y intéresse (ch'est un bien grin mot, j'ravise deux trois articles par chi par la),pu qu' j'trouve euch lingach magnifique, et gâchée; nin par Dany et ches acteurs, mais par les gins. Cha vous soule pas, tous ches réclames pour des sonneries sms, faites par des acteurs d'eul capitale? et qui donnent "oué, cho vo biloute, t'as un ech em eche, hein!"? Mi, chi. Ch'est pourquoi, qu'jeum su inmerdé à réécrire tout min texte.

J'voudros juste vous dire à tertous, qu'eul ch'ti ch'est une lanc', bien puq qu'un phénomène commerchial. Vivez vos vies, soyez modernes, mais, faites nin comme Pernaut à 13H, protégez et sauvegardez vos identités régionales. Parce que, si in a des spécificités, ch'est bien pour qu'in so pas des clones.


Kenavo, Ar'voir, etc.

8 janvier 2009

En balade.

Je viens de terminer aujourd'hui la première partie d'un drôle de marathon.

Je suis en effet en vadrouille un peu partout.

Jugez plutôt:

Mardi: Retour à Lille pour les exams.
Mercredi: Exam.
Ce jour: Exam (on se passera de commentaires).
De demain à mercredi prochain: Révisions.
Jeudi: Exam
Vendredi: Exam.
Samedi: Départ pour Rouen (:wub:)
Dimanche: Retour de Rouen.
Jeudi: Examen de Code.

Et après... repos de courte durée: lundi reprise des cours.

6 janvier 2009

Petite explication d'une passion...

Il y a quelques jours, j'avais écrit à quelqu'un qui compte beaucoup pour moi, l'explication de ma passion pour l'arbitrage. Je me suis rendu compte que le mail était assez général pour le faire partager.

Ceci permettra de mieux comprendre la naissance d'une passion. Merci à tous ceux qui auront eu le courage de le lire jusqu'au bout.

Note: Certains passages ont été tronqués volontairement.

(...)Donc, je suis né tout petit avec un ballon dans les pieds et...

Et non, c'est pas ça. Je suis un fan de foot atypique moi.
J'ai été dégoûté longtemps du foot: Ma première expérience footballistique remonte à l'euro 96 en Angleterre... Overdose de foot à la télé.
J'ai quasi pas regardé un match de la Coupe du Monde 98... Et pourtant c'est la qu'est née ma passion pour le foot. En effet, la demi et la finale avaient été retransmises comme dans beaucoup de villes, sur écran géant dans mon patelin. J'ai donc découvert une ambiance, des émotions. Premier souvenir du supporter... Et victime de l'effet 98, mon intérêt pour le foot a grimpé en flèche.
Durant l'année 99, j'ai été voir les matchs de mon équipe locale. Je me suis pris d'un grand intérêt pour ces 22 gars qui prenaient plaisir à faire trois passes et deux frappes par 4 degrés dehors.
Ca ne s'explique pas au fond, mais c'est vraiment comme ça que c'est venu.
La passion grandissant (j'avais 12 ans aussi, a l'époque...), je m'étais mis en tête de devenir joueur de foot. Mais cela n'a jamais dépassé le stade du rêve puisqu'en cours de sport, en jouant au foot, je me suis pris le pied dans un trou dans le terrain => Cheville cassée. Petit aparté, c'est à ce moment la qu'on se rend compte que le plus pénible, ce n'est pas le plâtre mais la rééducation.
Bref.

Je me suis rendu compte au cours de cette dernière que j'aurais du coup une frappe de moineau toute ma vie. Il m'a donc fallu renoncer à tout projet de joueur, à moins d'être gardien,mais étant petit...
Donc, une fois la déception passée, un jour, je me suis retrouvé au coin d'un terrain à regarder une compétition scolaire de foot, dans laquelle jouait mon frère.

Et un des profs de mon frère, toujours en 99, qui m'avait eu comme élève, m'avait vu, et, jugeant que j'étais un garçon responsable, et curieux, je n'aurais aucun souci à arbitrer une rencontre. Et c'est comme ça que j'ai pris le sifflet pour la première fois de ma vie...
Avant, ensuite de me poser SERIEUSEMENT la question "Et si je devenais un vrai arbitre?"
Discussions parentales, et petite idée lumineuse, bien qu'au départ sans grande conviction: Ecrire à un arbitre qui a réussi pour savoir ce qu'il faut faire pour devenir arbitre.

(...)

Bref, donc. Après tout ca, je me suis fait inscrire au cours d'arbitrage...
J'ai découvert déjà les prémices d'un monde que je ne regrette absolument pas... Une famille.
Les cours avaient lieu fin novembre, début décembre, de 14 à 18h, dans l'arrière salle, pas chauffée, d'un café. On était gelés... Et pourtant on a réussi.
J'ai fini 4e de ma promotion je crois.

Ca m'a valu ma deuxieme émotion de supporter, une fois l'examen obtenu: 1 place pour alleer voir Lens-Nimes en Coupe. 40 000 personnes, le stade plein a craquer. Quand j'ai monté les marches, que j'ai vu la pelouse et cette ambiance, une heure avant, j'ai ressenti qqch de "magique"... Ca s'explique pas :-)
Et depuis, je suis resté supporter lensois, étendu au Havre une fois que j'ai vu le HAC jouer. De temps en temps je vais voir le LOSC, je suis pas sectaire. Mais mon coeur est lensois.

Bref.
L'année 2000, obtention de mon examen, était spéciale. La première partie, j'ai fait des matchs de mon club. (...)

Bref, mi-2000, j'ai eu mon premier match. Un match de "13 ans". Tout n'a pas été parfait bien sûr. J'ai même oublié certaines bases lors de l'avant-match.Mais le contrôleur était plus que satisfait de mon observation.
Cela a été récompensé plus tard, puisque j'ai été désigné arbitre central d'une finale de coupe "13 ans". Le protocole, la foule, du bonheur, gâché par beaucoup de stress. Heureusement que le match n'a pas causé trop trop de soucis.
Bref 2001, ca continue, les stages, etc.
2003 (je zappe 2002, y'a rien d'intéressant à part l'obligation d'achat d'un minitel pour zapper la désignation par courrier, tout une époque, et l'arbitrage de la "Coupe du monde des jeunes", un tournoi calqué sur le systeme de la CDM, regroupant des équipes de jeunes, donc, ainsi que des finales régionales sous forme de tournoi)
2004: Outre la rencontre de Pascal Garibian, quelques émotions de supporters, j'ai également eu droit à ma première convocation en stage pour passer à l'échelon supérieur. (...)

2005:(...)
Bref, ce fut aussi ma saison la plus aboutie et la plus catastrophique.
La plus catastrophique car je me suis planté lamentablement à mes deux matchs d'examen au niveau supérieur, cela a été très dur psychologiquement, en plus jai quasiment pas eu de matchs.
Mais aussi la plus aboutie, parce que le peu de matchs que j'ai eu étaient magiques.
A titre d'exemple, je vais te raconter une anecdote:
J'ai arbitré à la touche un match de "Nationaux jeunes (18 ans)" (le plus haut niveau en jeunes): RC Lens contre Beauvais.
Du côté lensois il y avait 4 joueurs pros. ET, au moment d'aller vérifier les filets, le gardien de Lens, qui était également le 2nd gardien de but professionnel (donc la veille il était sur le banc des pros), qui était aussi d'origine finlandaise (Il s'appelait Nikii Maenpäa), fait l'effort de me dire en français (parce qu'il parlait quasiment pas la langue) "Bon chance et bon match monsieur l'arbitre". Alors comme il a fait l'effort de me le dire en francais, j'ai fait l'effort de lui répondre en anglais (ne parlant pas le finlandais) "Thank You, good luck and good game Mister Maenpaa.". ^^

Bref, ma plus belle saison, malgré la déception.

(...) (je zappe sur 06)
2007: Après un début de saison complètment loupé en jeunes parce que je m'ennuyais, j'ai dmandé mon changement de catégorie. Je suis donc depuis cette année là seniors. Mais j'avais tout mis de côté, j'ai refusé tous les stages, les tests divers et variés, je voulais juste bien faire mon boulot...
J'ai été contrôlé une fois, j'ai eu 15.65. Et avec ma note théorique, j'ai fini 11e sur un groupe de 35 je crois.(...)

2008: (cette saison) est en cours.
Elle a commencé formidablement bien et s'enchaîne comme dans un rêve ou presque depuis.
(...)
Puis, j'enchainais sur deux matchs de coupe, et sur un stage de niveau supérieur, comme au bon vieux temps.
Bref, depuis aout 2008, arbitralement c'est le bonheur....


Et pour tous ceux qui ont eu la patience de lire, une petite photo pour illustrer tout ça.

Avantage

6 janvier 2009

Cinéma cinéma tchi tcha.

J'ai découvert le cinéma "sur le tard". N'allez pas croire que j'ai mis les pieds dans une salle de ciné pour la première fois à l'âge de 19 ans, bien au contraire.
Simplement, ma localisation de l'époque (la campagne!! :-) ) ne me permettait pas d'aller régulièrement dans une salle obscure.
Et petit à petit, j'ai pris goût au cinéma!
Les comédies, les comédies romantiques, puis les films plus engagés, et les films de gangsters. Mais très peu de blockbusters, et jamais de films d'horreur.

Enfin bref. Juste pour vous dire, si vous êtes intéressés, que je vous invite à aller voir ma page sur Allociné.

Et peut-être qu'en cherchant des infos sur un film, vous trouverez une de mes critiques (Julien2159). Mes deux dernières n'ont pas été très tendres, mais cela était justifié. En résumé, n'allez pas voir Madagascar 2 si vous avez vu le 1, et n'allez surtout pas voir Largo Winch.

A bon entendeur....

6 janvier 2009

Deviant Art.

Connaissez vous "Deviant Art"?

La première fois que j'ai vu un blog de deviant art, j'ai cru, par la nature des publications sur le blog, qu'il s'agissait de détourner des objets de leur utilisation principale et de les photographier dans des positions "surprenantes", de les "dévier".

Mais, depuis je me suis renseigné sur Wikipédia.

Voici la définition.

"ce site permet à chacun d'y mettre des œuvres (de qualités diverses et variées) graphiques ou littéraires(...)
les
deviations sont les créations postées par chaque membre ou groupe, tout ce qui a un rapport avec l'art visuel peut-être posté : poésie, photographie, dessin, ressource pour programme, stock d'image, animation flash... quasiment tout trouve sa place sur dA. Les arts musicaux en sont néanmoins exclus, bien qu'il soit possible de contourner ceci, et les vidéos (hors flash) sont tolérées."

Et, certaines œuvres valent le déplacement pour peu qu'on s'intéresse un peu à l'art, sans passer sa vie dans un musée.

Je ne mettrais pas de lien, ou de photos, par respect pour le droit d'auteur, mais je vous invite à aller faire un tour sur www.deviantart.com

Ça vaut VRAIMENT le déplacement.

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Un être en balade, ici, la, ailleurs.
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